Dans le cadre du contentieux croissant de la contestation des dérogations « espèces protégées » prises sur le fondement de l’article L411-2 du Code de l’environnement, le Conseil d’Etat a récemment clarifié son office lorsqu’il est confronté à la question de la légalité de dérogations autorisant, par exception, la destruction d’espèces animales ou végétales protégées et leur habitat :
Lire ci-dessous les commentaires de Eric Landot, avocat
1) CE 8 juillet 2024
Arrêtés complémentaires : en matière environnementale, nul ne peut s’endormir sur ses droits acquis
2) CE 6 novembre 2024
Dérogations espèces protégées et « risque suffisamment caractérisé » : jusqu’où va le contrôle du juge de cassation ?